Château de Châteaudun, France

Le château de Châteaudun est un château situé dans la ville de Châteaudun dans le département français de l’Eure-et-Loir. Donnant sur le Loir 60 m, laChâteau de Jehan Dunois, Appelé « le Bâtard d’Orléans » permet d’aligner une succession d’éléments rares de l’architecture médiévale, gothique et Renaissance. La Sainte-Chapelle abrite une statuaire remarquable. Une importante collection de tapisseries décore l’endroit. Les jardins médiévaux et suspendus, unique dans la région Centre, offrent une agréable pause lors de la visite.

Histoire
Le château a été construit entre le 12ème et 16ème siècles. Je thibaud le tricheur, le nombre deBlois au début du Xe siècle, établi un de ses puissantes forteresses au moment des invasions des Vikings.

Le comte de Blois Thibaut V a construit le donjon autour de 1180. Le 13 Octobre, 1391, Guy II de Châtillon, dernier comte de Blois, Vend les comtés de Blois et Dunois à Louis d’Orléans, frère du roi Charles VI.

En 1407, après l’assassinat de Louis d’Orléans, Chateaudun et son autre bien passe à son fils Charles d’Orléans. Charles VI a fait don du château en 1439 à son demi-frère Jean de Dunois dit « le bâtard deOrléans »ou « Dunois », compagnon d’armes de Jeanne d’Arc.

La Sainte-Chapelle a été construite entre 1451 et 1493. Le chœur et la grande chapelle ont été construits entre 1451 et 1454, avec la nef et l’oratoire entre 1460 et 1464. Jehan de Dunois, le Bâtard d’Orléans (Bâtard d’Orléans), construit l’aile ouest (le « Dunois aile ») entre 1459 et 1468.

Le clocher a été érigée en 1493. François Ier d’Orléans-Longueville a commencé la construction de l’aile nord (la « aile Longueville ») entre 1469 et 1491. Les étages supérieurs ont été ajoutés par François II d’Orléans-Longueville et ses descendants au cours de la premier quart du 16e siècle.

Lorsque la famille est mort sans descendance Longueville en 1694, le château est revenu aux ducs de Luynes. Le château moitié abandonné par ses propriétaires sert de refuge pour les habitants de Chateaudun après l’incendie qui a dévasté la ville en 1723. Au cours de la Révolution française, la chapelle est mis à sac et les bâtiments servent de casernes.

Le château est à nouveau endommagé par les Prussiens pendant la bataille de Châteaudun en 1870.

En 1938, le château est acquis par l’Etat qui commence sa restauration.

Architecture
Il est devenu la propriété de Jean d’Orléans, un compagnon privilégié de Jeanne Arc, et il était celui qui avait l’ouest (Dunois) aile construite entre 1450 et 1468. La mise en page de ce bâtiment principal, avec son petit, plus confortable, raffinée chambres reflète la nécessité pour le confort qui a suivi la guerre de Cent ans.

L’originalité profonde de la Château de Châteaudunprovient du fait qu’il ya une transition progressive du Moyen Age à la Renaissance qui permet aux deux styles de coexister. La cour du château, situé entre la « aile Dunois » et la « aile Longueville », a également conservé deux escaliers loggia, une avec un décor flamboyant et l’autre, qui suit le même schéma, de l’époque de la Renaissance. Chateaudun, sur une période relativement courte, les constructeurs ont adopté de façon transparente et en douceur le style de leur temps.

En entrant dans la Loir Vallée provenir de Paris, entre Chartres et Blois, La grande silhouette du Château de Châteaudun se dresse fièrement devant les visiteurs qui l’approchent du nord.

Appartenant à Jehan, le Bâtard d’Orléans, comte de Dunois et un compagnon privilégié de Jeanne d’Arc, le célèbre architecte de la victoire française sur les Anglais, ce fut une forteresse solide avant de devenir une résidence princière délicieuse à la fin du 15ème siècle et au cours de la 16e siècle.Le combinaison de son site et sa situation géographique font un emplacement Châteaudun défensif exceptionnel.

cour principale
Autour de la cour principale, de gauche à droite, les différentes constructions qui forment la Château de Châteaudun sont disposées par ordre chronologique: la grande tour du 12ème siècle garder, la Sainte-Chapelle et l’aile Dunois du 15ème siècle et l’aile du Longueville 16ème siècle.

Grande Tour du donjon du château
Figurant dans l’épaisseur entre les parois au niveau de la voûte plantaire, deux couloirs annulaires forment une trajectoire circulaire qui a permis aux archers de se déplacer et de se positionner derrière les boucles fléchées pour neutraliser les attaquants.

La grande tour est la dernière partie restante du donjon ou d’un château médiéval. Il est dans un état de conservation remarquable et est un exemple unique de tours de maître. Avec son énorme silhouette et ses parois opaques, ce cylindre mesurant 17 mètres de diamètre et 31 mètres de hauteur se dresse sur trois niveaux, dont les deux premiers sont voûtés dôme.

L’entrée était au premier étage, à 10 mètres au-dessus du sol et le rez-de-chaussée était accessible via un « trou d’homme ». L’étage supérieur abritait la bibliothèque de Jehan Dunois et appartements pour les membres de son entourage.

Sainte-Chapelle
Châteaudun abrite l’un des onze Saintes-Chapelles construit en France entre les 13e et 16e siècles. De 1451 à 1493, Jehan Dunois arrangé pour la construction d’une Sainte-Chapelle, de style gothique et de forme asymétrique, à la maison un morceau de la Vraie Croix lui a été donnée par Charles VII. Cette chapelle était non seulement l’expression de la dévotion remarquable de Jehan Dunois: ce fut aussi un acte politique pour affirmer sa lignée comme un prince.

Chapelle basse
Destiné au seigneur du château, il se compose d’un chœur orné par de grandes ajourées avec de petites colonnes et une nef voûtée avec des arcs en ogive trois-quarts.

Statues de Saints
Après le pillage de la Révolution … tout ce qui reste du décor somptueux d’origine est un ensemble magnifique de quinze statues de la Loire ateliers du 15ème siècle représentant les saints pour lesquels Dunois et sa famille avait une dévotion particulière.

La merveilleuse Vierge et l’Enfant dans l’abside est un exemple très pur de l’art gothique d’environ 1400.

statue Jehan Dunois
Le célèbre statuette dans la nef représentant un combattant âgé, vêtu de caractéristique d’armure du règne de Charles VII et orné d’une couronne de laurier, est, selon la tradition, un portrait de Jehan Dunois.

Jugement final Peinture murale
La chapelle Saint-François est orné d’un grand jugement dernier peint à l’aquarelle sur le mur sud, attribué à Paoul Goybault. Dunois est susceptible d’avoir commandé autour de 1466, pour le mariage de son fils à Agnès de Savoie.

Chapelle haute
Le sol a été affecté au personnel domestique, contrairement à la coutume qui voulait que le niveau supérieur pour être l’espace religieux du seigneur. Il est couvert par un cadre lambrissé voûte en berceau dans un décor somptueux et sculpté au milieu du 15ème siècle: un agneau pascal et figures d’anges.

aile de Dunois
Cette aile ouest avec un deuxième corps carré, construit entre 1459 et 1468, donne sur la Loire au bas de l’éperon rocheux. Il est composé de cinq niveaux pour compenser les contours du terrain environnant – deux étages souterrains avec un éclairage sur le côté jardin, deux étages élevés et un niveau grenier sur le côté cour.
salle d’audience
Ici, le Seigneur a exercé son pouvoir de la justice, en personne ou par délégation. En raison de son état de conservation remarquable, il est un exemple exceptionnel du décor d’une juridiction seigneuriale de l’Ancien Régime au 17ème siècle.

cuisines médiévales
Deux grandes cuisines avec des poutres voûtées abritent deux cheminées qui tiennent en place toute la largeur de la paroi de support. Un grand nombre de serviteurs préparé nourriture. L’étendue des cuisines démontre l’importance de l’hospitalité dans le mode de vie qui a permis au seigneur d’affirmer son pouvoir.

Une baignoire appartement
Situé au premier sous-sol, l’appartement de bain comprend deux chambres. La première, équipée d’une cheminée, probablement un vestiaire ou des toilettes, permet un accès au jardin. Accessible par quelques marches, une salle voûtée avec des bancs en pierre était la pièce chaude, ouvrant sur une petite salle de vapeur.

La RESIDENCE
Le rez-de-chaussée et le premier étage forment la partie noble de l’habitation. Les chambres sont chauffées par de grandes cheminées avec des morceaux de cheminée sculptés, les plus beaux d’entre eux étant situé à proximité de la tourelle à plusieurs côtés.

La résidence sud, la plus grande résidence au premier étage, était probablement occupée par Jehan Dunois.

La terrasse
Sur le site de la terrasse il y avait une salle, une chapelle et un bureau qui se sont effondrés au 18ème siècle. De la façade il y a une vue imprenable sur laLoir.

aile de Longueville
Les seigneurs de Longueville, descendants de Jehan Dunois, complété le château en y ajoutant une aile nord, du côté de la Loir, Entre 1508 et 1519.

La façade
L’opulence du décor de son aile sud contraste avec la sobriété de sa construction du 15ème siècle et au début démontre la preuve de l’influence italienne à l’extrémité nord de la Loire Vallée. La verticalité de l’immeuble indiqué par ses hauts toits permet de conserver sa nature médiévale tandis que la symétrie par rapport de la composition et répertoire ornemental de la cage d’escalier préfigure la Renaissance.

Grand escalier Renaissance
Avec son décor somptueux et flamboyant, l’escalier est la principale caractéristique décorative de l’aile nord: une installation précédée d’atterrissages qui forment une loggia. La décoration intérieure de la cage d’escalier est une introduction à la Renaissance, son noyau de calcaire blanc étant décorée de candélabres. Les colonnes couronnées de chapiteaux dans divers types de décor ornent les murs de la cage d’escalier. poutres caissons de pierre ponctuent les plafonds d’escalier plat. Les linteaux sont sculptés avec des motifs italianisants, encadrés par des médaillons.

Appartement de Catherine d’Alençon
La pièce principale au premier étage, la salle dite Catherine d’Alençon, avec une superficie de 300 m², était où le reçu leurs invités Longueville. Il a été le cadre d’une grande réjouissance: la danse, la musique, la poésie, des histoires et des contes pour accompagner les banquets. Il est maintenant à la maison permanente de magnifiques collections de tapisseries du château.

Jardins:
époque d’inspiration médiévale jardin
Ce jardin a été organisée sur rempli dans les fossés du côté sud, à proximité du donjon.

Quelque 150 espèces de plantes aromatiques et médicinales, ainsi que des variétés de légumes qui étaient présents sur les tables à manger médiévale, sont cultivés dans les douze carrés de buis.

Jardin suspendu
Le jardin suspendu occupe la partie ouest du site, sous l’aile Dunois. Ci-joint par des structures de maçonnerie, il offre une vue panoramique sur la campagne qui peut être vu à travers les fenêtres du château.

Accessible l’appartement des DEPUIS bains, il témoigne de la Volontè du maître des lieux d’integrer les à l’Architecture Extérieurs Arboisien savante hiérarchie, l’influence de manifestant L’art des jardins italiens de la Renaissance. Il marque l’évolution du jardin du Moyen-productif vieillissons vers le jardin de plaisance.

Restauration:
Longtemps négligé, sauvé de la ruine par son acquisition par l’Etat, la Château de Châteauduna été restauré après 1939 sous la direction de l’architecte Jean Trouvelot (1897-1985). La restauration de Châteaudun est de noter en particulier dans son adhésion à l’architecture et la sculpture des siècles passés, ainsi que de finitions qui correspondent aux caractéristiques d’origine aussi près que possible.