Nice est une grande ville de France sur la Côte d’Azur. C’est une destination populaire pour les vacanciers jeunes et vieux, avec quelque chose à offrir à presque tout le monde. Il est bien connu pour la belle vue sur la Promenade des Anglais, son célèbre front de mer, et est une ville portuaire ethniquement diversifiée.
Les origines de Nice se trouvent parmi les ruines gallo-romaines de Cimiez, dans les collines du boulevard de Cimiez depuis le centre-ville. Cimiez contient également un monastère et quelques musées, mais de nos jours, la plupart des habitants de la ville vivent plus près du niveau de la mer. Nice faisait partie du duché italien de Savoia, puis du royaume de Sardaigne jusqu’à ce qu’elle soit cédée à la France jusqu’en 1860. L’ancienne langue locale est le nissart, et certains panneaux de signalisation sont bilingues. Cependant très peu de gens parlent le nissart, et même les personnes âgées connaissent et parlent le français. Ne présumez pas que toutes les personnes que vous rencontrez parleront anglais – un effort en français sera toujours apprécié.
L’histoire
La création de Nice remonte à l’Antiquité: la ville était grecque puis romaine, on peut encore voir aujourd’hui des traces de ces présences. En 1388, la rive gauche du Var (« Nouvelles terres de Provence ») fait partie du Maion de Savoie, c’est ce qu’on appelle la dédicace de Nice à la Savoie. En 1526, les Terres Neuves de Provence prennent le nom du comté de Nice, encore utilisé aujourd’hui. En 1543, suite au siège de Nice par les troupes françaises du duc d’Enghien et la flotte turque de Barbarossa, au-delà de Tunis, la ville se rend, sauf la citadelle. C’est une femme, Catherine Ségurane, qui a mené la résistance. Les assiégeants ont abandonné. Au cours des siècles suivants, Nice sera épisodiquement attachée à la France ou à la Maison de Savoie. En 1860, le peuple niçois vote pour son attachement définitif à la France.
Vues
La Promenade des Anglais (« Promenade des Anglais ») est une promenade le long de la Baie des Anges (« Baie des Anges »), qui est une baie de la Méditerranée, à Nice. Avant l’urbanisation de Nice, le littoral de Nice était juste bordé par une plage déserte de galets (couverte de gros galets). Les premières maisons étaient situées sur un terrain plus élevé loin de la mer, car les riches touristes visitant Nice au XVIIIe siècle ne venaient pas pour la plage, mais pour la douceur de l’hiver. Les zones proches de l’eau abritaient les dockers et pêcheurs de Nice.
Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, de nombreux Anglais riches ont passé l’hiver à Nice, profitant du panorama le long de la côte. Lorsqu’un hiver particulièrement rude dans le nord a provoqué un afflux de mendiants à Nice, certains riches Anglais leur ont proposé un projet utile: la construction d’une passerelle le long de la mer.
La ville de Nice, intriguée par la perspective d’une agréable promenade, a considérablement accru la portée des travaux. La Promenade fut d’abord appelée le Camin dei Anglès (la voie anglaise) par les Niçois dans leur dialecte natif, Nissart. Après l’annexion de Nice par la France en 1860, elle fut rebaptisée La Promenade des Anglais, remplaçant l’ancien nom Nissart par sa traduction française.
L’hôtel Negresco sur la Promenade des Anglais doit son nom à Henri Negresco (1868–1920) qui fit construire l’hôtel palatial en 1912. Conformément aux conventions de l’époque, lorsque le Negresco ouvrit ses portes en 1913, sa façade s’ouvrit du côté opposé le méditéranéen.
Un autre endroit mérite d’être mentionné est la petite rue parallèle à la Promenade des Anglais, menant du centre-ville de Nice, commençant à la place Masséna et parallèle à la promenade en direction de l’aéroport sur une courte distance d’environ 4 pâtés de maisons. Cette section de la ville est appelée «Zone Pietonne» ou «Zone piétonne». Les voitures ne sont pas autorisées (à l’exception des camions de livraison), ce qui fait de cette avenue une passerelle populaire.
Le Vieux Nice abrite également l’Opéra de Nice. Il a été construit à la fin du XIXe siècle sous la conception de François Aune, en remplacement du théâtre Maccarani du roi Charles Félix. Aujourd’hui, il est ouvert au public et propose un programme régulier de spectacles.
Repères
La plus belle chose à voir à Nice est la vue le long de la Promenade des Anglais, qui longe la côte sur plus de 5 km, puis se termine à l’aéroport de Nice. Ce sont les points de vue que vous aurez vus dans des dizaines de cartes postales et dans les peintures de l’artiste du XXe siècle, Henri Matisse, qui a passé tant d’années à vivre à Nice, mais que vous ayez vu des photos ou non, vous vous le devez à parcourez une partie de ce tronçon si vous êtes arrivé à Nice.
Promenade des Anglais
C’est le front de mer de Nice, avec sa vue magnifique sur la mer et les montagnes de l’arrière-pays. Il est également connu pour ses grands hôtels comme le Negresco.
La ville est limitée à l’ouest par la plaine varoise où coule la rivière du même nom. Très peu attrayant d’un point de vue paysager, il comprend le stade Allianz Riviera récemment construit et la grande zone commerciale de Nice Lingostière.
Vieux-Nice
Ceci est le cœur historique de la ville. Parmi les coins à ne pas manquer, nous citerons le Cours Saleya et son célèbre marché aux fleurs. La cathédrale Sainte-Réparation, chef-d’œuvre de l’art baroque, est également à voir. La chapelle de la Miséricorde sur le cours Saleya, en cours de restauration, est classée parmi les dix plus beaux édifices religieux baroques du monde. Il appartient à l’Archiconfrérie des Pénitents Noirs fondée en 1329.
colline du château
Proche de la vieille ville, ce jardin public offre une vue imprenable sur la ville et ses environs. Notez qu’il ne reste rien du château lui-même. Il peut être atteint à pied ou par un ascenseur ou même un train touristique. Belle cascade. Si la colline du château est l’un des sites les plus célèbres de Nice, c’est parce que nous bénéficions d’une vue très large: la vieille ville à droite et le port à gauche.
La colline du château surplombant la baie des Anges et le port offre un point de vue spectaculaire surplombant la ville. Il ne reste pas grand-chose de son château en ruine à part les murs en ruine. Pourtant, monter les escaliers pour atteindre les quais à 90 m au-dessus de Nice vaut bien la vue. Il y a aussi un ascenseur qui vous mènera aux trois quarts de la montée. Le parc de la colline du château ferme au coucher du soleil. Attendez-vous à être escorté à l’extérieur si vous restez plus longtemps.
Patrimoine architectural
De son passé, Nice possède un riche patrimoine architectural. Durant la période savoyarde, plusieurs palais et hôtels particuliers ont été construits, ainsi que des églises de style baroque. Pendant la Belle Époque, la ville s’est enrichie de nombreuses villas et hôtels.
Bâtiments et lieux publics remarquables
La Promenade des Anglais est le symbole de la ville pour le monde entier. Nice a un grand nombre de places. Beaucoup sont situés dans la vieille ville, comme la place Saint-François, la place Garibaldi ou le cours Saleya. La place du Palais de justice, l’ancienne place Saint-Dominique, et à la place de la préfecture, créée au XIXe siècle, sont également situées dans la vieille ville. La plupart des autres places de la ville ont été conçues au XIXe siècle et sont situées en bordure ou à l’extérieur du Vieux Nice. C’est le cas de la place Charles-Albert et de la place Masséna ou de la place de la Croix de Marbre. La place Arson entre la rue Auguste Gal et la rue Arson, est dès la fin du XIXe siècle un lieu privilégié pour les balles de jeu.
Nice a également conservé peu de traces de son passé militaire, à l’exception du fort du Mont Alban. En revanche, il a conservé un certain nombre de bâtiments intéressants datant de l’ère moderne, comme le Palais Municipal de Nice, le Palais du Sénat de Nice ou le Palais de la Préfecture de Nice, qui abritait autrefois des souverains savoyards pendant leur séjour à Nice.
Plusieurs monuments et statues commémorent des événements ou des personnages liés à l’histoire de la ville, comme la croix de marbre, la colonne du pape ou le monument des serruriers. La ville possède également un certain nombre de statues. Les plus connues sont la statue de Charles-Félix, la statue de Masséna et la statue de Garibaldi. On peut également citer le monument à la reine Victoria, le monument aux morts Rauba-Capeù et le monument du centenaire.
Palais, châteaux, villas et hôtels particuliers
La présence de familles de notables assez puissantes, suivie de celle de visiteurs hivernaux, a doté la ville d’un riche patrimoine de résidences privées: châteaux, palais et villas.
Certaines de ces résidences sont situées sur les collines qui entourent Nice. Le château de Bellet est bien situé dans le quartier de Saint-Roman-de-Bellet. Il date du xvi ème siècle. Il appartient à une famille d’aristocrates niçois de Savoie, les Roissards de Bellet. Le château a été agrandi au XIXe siècle et restauré deux fois au XXe siècle. Il est désormais situé au milieu des vignes qui produisent le vin Bellet. Le quartier abrite également une chapelle néogothique du XIXe siècle. Dans le vignoble Bellet, il y a aussi le Château de Crémat, construit en 1906 et de style médiéval.
Le musée Matisse était à l’origine une maison construite au xvii e siècle à Cimiez par Jean-Baptiste Gubernatis, consul de Nice. Son style est caractéristique de celui des riches demeures génoises. La villa, connue sous le nom de Palais Gubernatis, a été vendue en 1823 à un aristocrate niçois, Raymond Garin de Cocconato. Il appartenait alors à une société immobilière et fut racheté par la ville de Nice en 1950. Le palais devint alors la Villa des Arènes et fut aménagé pour abriter le musée Matisse, inauguré en 1963, et le musée d’archéologie. Le bâtiment a été rénové de 1987 à 1993.
Certains palais sont situés dans le Vieux Nice. Le Palais Lascaris, situé en plein cœur de la vieille ville, a été construit entre 1648 et le début du XVIIIe siècle pour le maréchal Jean Baptiste Lascaris-Vintimille, neveu du 55 ème Grand Maître de l’Ordre Souverain Militaire Hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem, Rhodes et Malte. Ses descendants, les comtes de Peille, ont achevé la construction du bâtiment. C’est un palais baroque, dont l’architecture et la décoration témoignent de l’influence génoise. Le palais abrite aujourd’hui un musée consacré aux arts décoratifs et aux arts et traditions populaires.
Plusieurs bâtiments ont été construits pour les familles aisées de Nice. Le palais Marie-Christine Place de la Croix-de-Marbre, a été construit au XIXe siècle, de 1800 à 1887. Il a été construit pour Saïssi Châteauneuf et a accueilli de nombreuses personnalités dont, en 1842, la reine Marie-Christine, veuve du roi de Sardaigne Charles-Félix. Son style est néoclassique.
Le Palais Masséna, rue de France, date de 1899. Il a été commandé par Victor Masséna et réalisé par Hans-Georg Tersling, architecte de l’impératrice Eugénie. Il s’inspire de la villa Rothschild à Cannes. Le style est néoclassique, Louis XVI et Empire. En 1920, la ville achète le bâtiment pour en faire un musée d’art et d’histoire locale. D’autres bâtiments célèbres de la ville incluent le Palais de Marbre, construit FABRON à la fin du XIXe siècle et abritant aujourd’hui les archives municipales de Nice, et le Palais de Maeterlinck, un ancien palais du Cap de Nice.
La plupart des châteaux du XIXe siècle ont été construits pour l’hivernage, français ou étrangers. Le château de l’Anglais a été construit en 1857 par et pour Robert Smith, un ancien colonel anglais. Il s’agit du premier château construit à Nice par un visiteur hivernal. C’est un pastiche des palais de Jaipur. Le parc et le château de Valrose ont été construits en 1867 par l’architecte David Grimm pour un riche visiteur hivernal russe, Paul Von Derwies. Il est de style néo-gothique et abrite aujourd’hui la présidence de l’Université de Nice Sophia Antipolis. Le château Sainte-Hélène a été construit au XIXe siècle pour le directeur du casino de Monte Carlo, François Blanc. Il appartenait alors au parfumeur François Coty, avant de devenir le musée international d’art naïf Anatole Jakovsky, en 1982. Le château de Gairaut fut construit pour Joseph Giordan.
Certains domaines célèbres ont disparu. Villa les Tropiques, un parc d’acclimatation, était dirigé par un naturaliste, Axel Robertson-Proschowsky (1857-1944) dont les contributions botaniques figuraient dans tous les périodiques spécialisés. Cet espace, exproprié par la ville de Nice en 1966, est désormais concédé à un parc d’attractions appelé « Parc des miniatures ». Le comte de Pierlas, amoureux des plantes exotiques et premier propagateur de palmiers à Nice, avait planté dans sa propriété Ray, la villa Pierlas, à partir de 1837, Chamaedorea elegans, C. sartorii, Phoenix sylvestris et Trachycarpus martianus.
Cafés, vieux palais et hôtels
Plusieurs institutions liées à l’histoire touristique de la ville existaient depuis le XIXe siècle et sont toujours exploitées plus ou moins transformées.
L’un des cafés les plus connus de la ville est le Turin Café, situé sur la place Garibaldi. Fondé au XIXe siècle, il était à l’origine un lieu de rencontre des immigrants piémontais. La pâtisserie Auer, rue Saint-François-de-Paule, ouverte en 1860, témoigne du style rococo, très en vogue à l’époque. La Trappa, rue Malonat, fondée en 1886, était à l’origine un restaurant de pêcheur.
Les propriétés hôtelières, en raison de la croissance du tourisme dans la seconde moitié du XIXe siècle, sont considérables, de nombreuses institutions ayant notamment été construites à la Belle Époque. Les palais ont disparu (généralement transformés en copropriétés), mais plusieurs grands hôtels ont été restaurés et modernisés dans la seconde moitié du XXe siècle.
Le vieil hôtel Regina avait été construit sur la colline de Cimiez en 1896, par l’architecte niçois Sébastien Marcel Biasini. La couronne en fer forgé de son aile gauche a été réalisée selon les plans de François-Félix Gordolon. La gigantesque Regina, qui comptait 400 chambres et suites, abritait la reine Victoria, sa petite cour et son personnel surpeuplé (la souveraine, amoureuse de Nice depuis 1895, assista à son inauguration en 1897). Transformé en appartements privés dans les années 1930, il était habité par Henri Matisse.
Le vieil hôtel de l’Alhambra sur le boulevard de Cimiez a été construit en 1900 par Jules-Joseph Sioly. Cet architecte, également connu pour le Palais Lamartine avec son splendide Second Empire (rue Lamartine), a livré ici l’un des rares exemples niçois du style de l’art mauresque. Il a également été transformé en résidence d’habitation.
Le Palais Donadei abritait le « Grand-Hôtel Nice-Palace » et le « Restaurant Belle Meunière » de la célèbre Marie Quinton (1854-1933). La Villa Niçoise de La Mère Quinton est actuellement l’hôtel de « La Belle Meunière ». On la retrouve au carnaval de Nice avec des chars « Belle Meunière » comme celui de 1909. Enfin « La Belle Meunière de La Belle Époque, La Mère Quinton des Roos Roches » suit sa riche clientèle de visiteurs hivernaux, hiver à Nice et été dans son ville natale de Royat-les-Bains en Auvergne. A la fin des années 1880 « La Bonne Meunière » du général Boulanger (1837-1891) « L’empereur des amoureux » fait expédier des marguerites au marché aux fleurs de Nice pour la fête de La Vicomtesse de Bonnemains (1853-1891) « La Dame à Oeillets rouges « ainsi que les œillets.
Plusieurs grands établissements hôteliers ont été construits le long de la Promenade des Anglais.
L’hôtel West-End, à l’origine l’Hôtel de Rome, a été construit en 1842 par des aristocrates anglais. Agrandi et embelli par la suite, il est le plus ancien des grands hôtels de la Promenade des Anglais. Depuis 1878, l’hôtel Westminster est à proximité, avec sa façade rose pâle.
Non loin de là, le Negresco a été construit en 1912 par Édouard-Jean Niermans, par l’ancien chef et majordome roumain Henri Negresco, financé par de riches gastronomes, ses clients, lorsqu’il travaillait dans le Grand Cercle de Nice. le style extérieur est néo-Louis XVI. L’intérieur est en grande partie de style « Fin du Second Empire ». Sa partie noble, rénovée par Paul et Jeanne Augier, est classée (façades) à l’inventaire des monuments historiques depuis 1975.
Jeanne Augier (« la Dame du Negresco ») a réussi, pendant près de 60 ans, à faire de son hôtel un musée où se côtoient les œuvres de Largillierre, François Boucher, Raymond Moretti, René Gruau, Cyril de La Patellière, etc.
Le Palais méditerranéen, également sur la Promenade des Anglais, a été construit en 1927-1928 par Charles et Marcel Dalmas. Sa façade est ornée de figures féminines et d’hippocampes sculptés par Antoine Sartorio. Le complexe, qui abritait un casino et un théâtre, a été inauguré en 1929. Victime de difficultés financières, il a fermé ses portes en 1978. La façade Art Déco a été sauvée in extremis de la démolition en 1990. Une décennie plus tard, le bâtiment est entièrement reconstruit. Il a été inauguré en janvier 2004 et comprend aujourd’hui un hôtel de luxe, un casino et une salle de spectacle, façade d’origine préservée.
En dehors de la Promenade des Anglais, l’un des hôtels de luxe est le Boscolo Exedra Nice, anciennement appelé « Atlantic », situé sur le boulevard Victor-Hugo. Construite en 1913 par Charles Dalmas sur ordre d’un hôtelier suisse, sa façade est de style Belle Époque. Repris en 2000 par la chaîne hôtelière italienne Boscolo, il a été entièrement rénové de 2005 à 2008.
Établissements de jeux
La ville de Nice possède deux casinos situés à une centaine de mètres l’un de l’autre et appartenant aux deux plus grands groupes français.
Le casino Partouche a ouvert ses portes en 2004 au Palais de la Méditerranée au cœur de la Promenade des Anglais, en remplacement de l’ancien casino détruit en 1990.
Le casino Ruhl du groupe Barrière est situé au rez-de-chaussée de l’hôtel Le Méridien sur la Promenade des Anglais.
Édifices religieux
catholicisme
La ville conserve un nombre important d’édifices religieux, caractéristique de la piété baroque. La plus ancienne est l’église Notre-Dame de Cimiez, qui a été construite en 1450 et reconstruite aux XVIIIe et XIXe siècles. D’abord propriété des moines bénédictins de Saint-Pons, elle fut ensuite cédée aux franciscains en 1546. Ces derniers y développèrent des pèlerinages à Marie. L’église abrite trois retables de Louis Brea (xv e et xvi e siècles).
La ville a surtout un grand nombre de bâtiments religieux baroques italiens. Parmi elles, l’église de Saint-Jacques-le-Majeur, ou du Gesù, située rue Droite, date de 1607. Elle a d’abord appartenu aux jésuites puis est devenue le siège de la paroisse Saint-Jacques. Sa façade montre le début de l’influence du baroque romain à Nice. Il a été repensé au cours de la première moitié du XIXe siècle. Son clocher date du XVIIIe siècle. Son plan et son architecture s’inspirent de l’église du Gesù créée par Vignole à Rome. La chapelle Saint-Philippe-Néri date de 1612. La cathédrale Sainte-Réparation, place Rossetti, a été construite à partir de 1650 par l’architecte Jean-André Guibert. L’église est mentionnée depuis le xi e siècle. C’était à l’origine un prieuré de l’abbaye de Saint-Pons et il est promu cathédrale au xvi ème siècle,
La cathédrale a été reconstruite au milieu du XVIIe siècle, de 1650 à 1680 environ. L’église s’inspire des modèles architecturaux romains du début du baroque (Vignole, Maderno). Le clocher a été construit au XVIIIe siècle. Parmi les autres édifices religieux baroques, outre la Chapelle de la Visitation et la Chapelle de la Visitation Sainte-Claire, il y a l’église Saint-Martin-Saint-Augustin, située Place Saint-Augustin. Il date de la fin du XVIIIe siècle mais n’est achevé qu’en 1830. Il est desservi par les Augustins. Sa façade est néoclassique. Chapelle Sainte-Jaume ou Saint-Jacques-le-Majeur ou Sainte-Giaume ou Santa Rita, également connue sous le nom d’Eglise de l’Annonciation, le xvi ème siècle a été classé monument historique le 3 février 1942. Enfin, le Saint-François -l’église de-Paule, dans la rue éponyme, est de style baroque piémontais tardif, mais la façade est néoclassique. Elle date du XVIIIe siècle comme la chapelle Saint-Aubert à façade baroque.
L’église du Voeu, située quai Saint-Jean-Baptiste, a été construite en 1840-1853 par l’architecte Carlo Mosca. Il a été érigé pour remercier la Vierge d’avoir sauvé la ville d’une épidémie de choléra. Elle est considérée comme la plus belle église de cette période, grâce à l’utilisation de volumes simples. L’église Notre-Dame-du-Port a été construite en 1840-1853 selon les plans de l’architecte Joseph Vernier. La façade a été ajoutée en 1896 par Jules Fèbvre.
Les confréries de pénitents ont également marqué le paysage religieux. La chapelle Sainte-Croix de l’archiconfraternité des pénitents blancs, située rue Saint-Joseph, a d’abord été construite par les Minimes, à partir de 1633. Elle a ensuite été achetée par l’Archiconfrérie des pénitents de la Sainte-Croix, ce qui la fait redécorer au second moitié du xviii e siècle par l’architecte Antoine Spinelli. Sa façade est dans le style du XVIIIe siècle. La chapelle de l’archconfraternité de la Très Sainte Trinité et du SuaireSituée rue Jules Gilly, à côté de l’ancien Sénat, alors que le xvii ème siècle. Modifié au XVIIIe siècle par l’architecte Gio Battista Borra Piémont, il appartenait à la confrérie des pénitents du Saint Suaire, fondée à Nice en 1620. Il est néoclassique. Deux autres confréries s’y sont installées,
Parmi les autres chapelles de pénitents, il y a la chapelle de la Miséricorde de l’archiconfraternité des pénitents noirs, située dans le cours Saleya et datant du xviii e siècle. L’architecte était Bernardo Antonio Vittone. Elle est devenue la propriété des Pénitents Noirs en 1829. Enfin, la Chapelle Saint-Sépulcre de l’Arche-Confraternité des Pénitents Bleus, œuvre d’Antoine Spinelli, située Piazza Garibaldi est néoclassique et date de la fin du XVIIIe siècle.
L’attachement du comté de Nice à la France a conduit à la construction d’édifices religieux de style gothique. Entre 1864 et 1868, avenue Jean-Médecin, la basilique Notre-Dame a été construite à partir de plans de l’architecte français Louis Lenormand. Elle s’inspire de la cathédrale d’Angers et possède une grande rosace entourée de deux tours carrées de 65 mètres.
Parmi les églises construites au xx e siècle, l’église Sainte-Jeanne-d’Arc, rue Grammont, architecture typique des années 1930 elle a été conçue par l’architecte Jacques Droz, et achevée en 1933 .. La Notre-Dame-Auxiliatrice L’église, place Don Bosco, est la plus grande du diocèse. C’est dans un style Art Déco. L’église Saint-Jean l’Évangéliste date également du xx e siècle, comme l’église arménienne Sainte-Marie (1927-1928) et l’église Notre-Dame de Lourdes de 2004.
Orthodoxie
La présence d’hivernage étranger à Nice dès la seconde moitié du XIXe siècle a conduit à la construction de nouveaux lieux de culte. Ainsi, l’installation d’une colonie russe dans la ville a conduit à la création d’églises orthodoxes russes, dont la première, Saint-Nicolas-et-Sainte-Alexandra, située rue de Longchamp, a été construite en 1858 par l’architecte Antoine-François Barraya .
Après la mort de son fils aîné, le tsarévitch Nicolas Alexandrovitch en 1865, Alexandre II a construit une chapelle commémorative sur le site de la villa où le prince est décédé. L’immeuble est situé boulevard du Tzaréwitch.
A côté de la chapelle, se dresse la cathédrale Saint-Nicolas, construite de 1903 à 1912 dans le style « vieux russe ». Son architecte, Préobrajensky, a également construit le château de Valrose. C’est le plus grand bâtiment orthodoxe russe en dehors de la Russie. La Cour de cassation a rejeté en 2015 un recours contre une décision qui avait jugé l’État de la Fédération de Russie justifié de le reprendre.
La communauté grecque de la Côte d’Azur, quant à elle, a inauguré en 1955, avenue Désambrois, l’église orthodoxe Saint-Spyridon, qui offre un exemple unique dans la région des fresques byzantines.
Depuis le début du xx e siècle, la présence arménienne traduit l’existence de l’église arménienne Sainte-Marie.
Il existe également une communauté franco-serbe avec la chapelle de la Dormition-de-la-Vierge, rue Fodéré dans le quartier du port.
anglicanisme
De même, la présence de l’anglais à Nice conduit à la construction d’une église anglicane dans le quartier de Buffa, inspirée de la chapelle du King’s College de l’Université de Cambridge.
protestantisme
Des lieux de culte protestants sont construits à Nice, comme le temple protestant du boulevard Victor-Hugo qui date de 1887. Il a été construit pour la communauté américaine qui, désormais trop petite, l’a vendu en 1974 au culte réformé vaudois. Son architecture est de style nordique néo-gothique.
Église vaudoise
La forte implantation de l’église vaudoise dans le Piémont et l’adoption en 1848 du Statut Albertin par le Royaume de Piémont-Sardaigne qui a donné la liberté religieuse à cette église, a conduit à la construction en 1855 du temple vaudois, rue Gioffredo. C’est l’un des premiers édifices religieux construits à Nice par une communauté religieuse non catholique. Il est de style ancien et abrite aujourd’hui une salle de vente aux enchères.
judaïsme
La synagogue de Nice a été construite en 1885 dans le centre-ville et rénovée en 1988.
Islam
La ville abrite cinq mosquées – la mosquée Al Fourkane, la mosquée Ar-Rahma (située avenue du Général-Saramito), la mosquée En-Nour (inaugurée le 8 juillet 2016), la mosquée Giuliani et la mosquée Imane, comme ainsi que plusieurs salles de prière.
Les Témoins de Jéhovah
La ville compte 2 ensembles de lieux de culte appelés Salle du Royaume, l’un situé avenue St Joseph et l’autre situé rue Pie François Toesca. Les réunions se déroulent en plusieurs langues, notamment en anglais, espagnol, russe, vietnamien, tagalog, lingala, brebis, cambodgien, chinois (mandarin), malgache, créole haïtien, serbe, arménien.
Canon midi
Chaque jour, depuis la colline du château de Nice, les Niçois sont prévenus qu’il fait midi fort. Selon la tradition, le seigneur écossais Thomas Coventry-More, ancien colonel de l’armée anglaise, venait à Nice chaque hiver de 1861 à 1866. En 1862, souhaitant déjeuner avec sa femme encore en retard sur la Promenade des Anglais, proposa au maire de Nice, François Malausséna, pour tirer un coup de canon tous les midi. Sa proposition a été acceptée, il a pris en charge les coûts et le tir du canon a commencé. Après 1866, les coups de feu sont tirés au coup par coup, donc le 19 novembre 1885, un décret institue le canon de miejour. Depuis vingt ans, le 1er avril, le canon est tiré à onze heures. Autrefois confiée à la police, c’est un pyrotechnicien (Philippe Arnello depuis 1992) qui s’en occupe depuis 1922.
Héritage naturel
Jardins
Nice possède des vestiges très anciens, la grotte préhistorique du Lazaret et un mur ligure présumé dans le jardin de Cimiez. Il existe peu d’études disponibles sur les jardins et les espaces naturels. Le Mont Boron est à près de 200 mètres d’altitude. A partir de la fin du xviii ème siècle, des villes et bâtiments s’y trouvent. Pendant très longtemps, les arbres et arbustes y ont été interdits, pour des raisons de stratégie militaire. Il a été accordé dans les pâturages. Avec l’annexion, cet impératif a disparu et le mont Boron a été reboisé à partir de 1862. Ce reboisement s’inscrit également dans une politique globale menée par le Second Empire. A Nice, il est dirigé par Prosper Demontzey. Les plantations privilégient le pin d’Alep, très adapté au manque de sol et d’eau. D’autres espèces poussent, notamment les oliviers et les caroubiers. Aujourd’hui, l’ensemble du Mont Boron fait l’objet de mesures de protection.
La colline du château, après la destruction de ce dernier au xviii e siècle, est restée aussi, pendant longtemps, un militaire de campagne qui a rendu visible l’esclavage. Le rocher a été pratiquement nu jusqu’en 1820. A cette date, la ville a été autorisée à y construire un jardin public. Les plantations ont été réalisées jusqu’au milieu du XIXe siècle. La couverture arborée du parc se développe et s’enrichit d’espèces qui se sont installées spontanément. La végétation prend parfois l’apparence d’une jungle et obscurcit la vue. Les jardins de la colline n’ont pas été construits selon un projet global, mais au coup par coup et le tout manquait de cohérence. Différentes réalisations ont réussi, comme la création de la cascade en 1885, le développement de nouveaux accès pour les voitures (parkings), la réalisation de mosaïques en 1965. Aujourd’hui, une réflexion sur l’accès au site et sa relation avec la ville s’impose. La colline gagnerait à être entièrement restaurée. La colline atteint une altitude de près de 100 mètres.
Parmi les autres collines qui entourent la ville, on peut citer Saint-Pierre-de-Féric, Pessicart, Saint-Antoine-de-Ginestière, Magnan, La Madeleine, Gairaut, Bellet ou encore Piol. Ces collines, qui constituaient la campagne niçoise, étaient aménagées en terrasses. Olive, figue, amande, vigne, caroubiers, légumes et fleurs (surtout oeillets) y ont été cultivés grâce au développement de l’irrigation. A partir des années 1960, la floriculture décline face à l’urbanisation. Les « vallées sombres » sont des vallées très profondes, situées dans les collines de pudding au nord et à l’ouest de la ville. Ils abritent une flore particulièrement originale, comprenant des espèces rares ou très rares. Beaucoup sont menacés par le dumping illégal.
Il y a très peu d’études sur les jardins de Nice. Un deuxième jardin urbain a été créé dans les années 1860 sur un marais, sur la rive droite du Paillon (aujourd’hui près du Ruhl). Les pouvoirs publics privilégient alors les jardins construits sur dalles, au-dessus du Paillon. Le premier de ce type a été construit en 1868 – 1869, en face du Grand Hôtel. C’est l’actuel Square Masséna. La deuxième grande opération de ce type est liée à la construction du casino municipal dans les années 1880. Le travail dure dix ans. En 1893, place Massénais reliée à la mer par un grand jardin sur dalle, l’actuel jardin Albert-I er. Il est agrémenté de la fontaine des Phocéens connue sous le nom de Tritons (classée monument historique le 25 août 1920) et d’une grotte en 1894. Le théâtre vert a été créé en 1946.
Le Parc Vigier est une place publique en bord de mer juste à l’extérieur du port de Nice: c’est la dernière parcelle d’une ancienne propriété, la Villa Valetta (1862), acquise par Achille Georges Vigier, petit-fils de Pierre Vigier. Cette propriété a été un lieu d’acclimatation notoire jusqu’à la mort du vicomte Vigier en 1883.
La faune et la flore
La Ville de Nice publie régulièrement un résumé ornithologique qui recense l’avifaune locale.
Du fait de l’urbanisation très forte, la faune et la flore du littoral sont fortement menacées. Il n’y a que quelques espaces vides qui pourraient disparaître au profit de nouvelles constructions, de l’expansion des infrastructures, des routes.
Installations culturelles
Nice a des équipements culturels. Elle possède des musées (c’est même la ville avec le plus en France, après Paris), un théâtre national, un opéra, une bibliothèque à vocation régionale, un conservatoire à rayonnement régional et des salles de concert.
Les musées
Bien qu’elle ne possède pas le label « villes et pays d’art et d’histoire », Nice possède de nombreux musées, consacrés à l’art, à l’histoire ou à l’histoire et aux traditions locales.
Le Musée des Beaux-Arts, avenue des Baumettes, inauguré en 1878, possède des collections de la fin du XVIe siècle au milieu du XXe siècle. Il abrite notamment des œuvres du peintre Jules Chéret, décédé à Nice en 1932 et du symboliste Gustav-Adolf Mossa. Il y a aussi des œuvres de Louis Bréa, Bronzino, Van Loo, Jean-Honoré Fragonard, Joseph Vernet, Hubert Robert des impressionnistes (Sisley, Monet) et post-impressionnistes (Vuillard, Bonnard) ainsi que des animaux sauvages, dont Kees Van Dongen et Raoul Dufy.
Le musée Matisse de Cimiez a été inauguré en 1963 dans une ancienne villa du parc des arènes de Cimiez. Il abrite une collection permanente de 218 gravures, 57 sculptures, 187 objets, 68 peintures, 95 photos, 236 dessins et 14 livres illustrés. Les premiers dons ont été faits par Henri Matisse, en 1953.
Le musée national du message biblique Marc Chagall, à Cimiez a été inauguré en 1973. Il rassemble les œuvres de Marc Chagall consacrées à la Bible. Ce sont dix-sept tableaux dédiés à la Genèse, à l’Exode et au Cantique des Cantiques, que Marc Chagall et son épouse, Valentina, ont fait don à l’État en 1966. En 1972, un deuxième don concernait les esquisses du Message biblique. Une des peintures de ce musée est Abraham et les trois anges. Le musée possède également des sculptures, une mosaïque, une tapisserie et trois vitraux conçus pour le musée.
Le musée international d’art naïf Anatole Jakovsky, avenue de Fabron, inauguré en 1982, abrite plus d’un millier d’œuvres issues des dons de Renée et Anatole Jakovsky.
Le Musée d’Art Moderne et Contemporain (Mamac), inauguré en 1990, abrite des créations de nouveaux réalistes (César, Arman, Raysse, Niki de Saint Phalle, Tinguely), des artistes du pop art (Andy Warhol, Wesselmann, Indiana, Dine), des représentants d’abstraction américaine (Maurice Louis, Franck Stella, Sol Lewitt, Kully), du groupe Supports / Surfaces (Pagès, Dolla, Dezeuze, Viallat), du groupe 70 et du groupe Fluxus (Ben). Il a également des œuvres d’Ernest Pignon-Ernest, Gilli et Yves Klein. Il accueille également des expositions temporaires.
Le Musée des Arts Asiatiques de L’Arénas a été construit en 1998 par Kenzo Tange. Il possède des collections d’art bouddhiste et organise des expositions consacrées aux arts d’Asie. Sa démarche est à la fois historique, artistique et ethnologique.
La ville possède plusieurs musées d’histoire.
Le Musée Terra-Amata de paléontologie humaine, restauré en 1999, est consacré aux résultats des fouilles effectuées sur ce site.
Le musée archéologique de Cimiez est consacré à l’antiquité romaine.
Le Riviera Resistance Museum est un musée d’histoire dédié à la Résistance dans les Alpes-Maritimes pendant la Seconde Guerre mondiale.
Le musée Masséna, inauguré en 1921 et récemment rénové, est un musée d’art et d’histoire régionale.
Le Palais Lascaris, rue Droite, est également un musée d’histoire régionale.
Le Musée national des sports a ouvert ses portes en 2014.
Le Musée d’Histoire Naturelle de Nice, ouvert en 1846, est historiquement le premier musée de la ville. Il possède des collections du XIXe siècle constituées de prémisses naturalistes avec Antoine Risso. Le musée de la marine, situé dans la tour Bellanda, conserve des peintures, des gravures, des maquettes de bateaux et des objets de navigation évoquant l’histoire maritime locale et la navigation de plaisance. Le musée du prieuré du Vieux-Logis, avenue Saint-Barthélémy, abrite une collection de mobilier gothique et Renaissance, ainsi que des objets d’art religieux.
L’entrée aux musées municipaux est gratuite à partir du 1er juillet 2008.
Mars aux Musées est un événement qui existe depuis 2001. Partant du constat que les sondages montrent que les jeunes et les étudiants vont très peu au musée (sondages de l’Observatoire de la vie étudiante et entrées aux musées de Nice), l université de Nice Sophia Antipolis et la mairie de Nice ont créé cet événement annuel avec une association étudiante (Médiateurs et Ingénieurs Culturels Associés). Ce sont les étudiants du master professionnel « Evénements, médiation et ingénierie culturelle » dirigé par le professeur Paul Rasse, réunis au sein de l’association MICA, qui prend en charge son organisation d’année en année. Le principe de Mars dans les musées est d’amener les étudiants et les jeunes de moins de vingt-six ans dans les musées. Pour cela, tous les musées niçois leur sont ouverts gratuitement pendant tout le mois de mars. En outre,
Doit faire
Des plages
Si vous allez à Nice pour vous baigner ou vous prélasser sur la plage, vous voudrez peut-être y réfléchir à nouveau. Les plages de Nice sont entièrement constituées de grandes pierres plates (gallets). Quelques plages privées ont ajouté une couche de sable, mais les plages publiques gratuites sont une expérience pierreuse. Outre les serviettes ou les nattes, vous devez absolument apporter des sandales, car marcher sur les pierres peut être douloureux, et un coussin si vous voulez vous asseoir. Des douches gratuites sont disponibles sur toutes les plages publiques et il y a une zone de beach-volley qui est nettoyée avec du sable blanc.
Bien que les plages soient principalement des galets, il est important de noter que de nombreux visiteurs apprécient la belle mer bleu clair pour se baigner. Si vous pouvez supporter de marcher quelques pas sur les galets, c’est certainement une occasion de nager plutôt que de jouer dans l’eau car la plage baisse rapidement et la force de marée peut être très forte, et pas pour les débutants. Allongé sur la plage pour un bronzage ou une détente est également gérable tant que vous réorganisez les rochers / galets sur une surface confortable pour vous asseoir et vous allonger. Les plages privées offrent divers services, des restaurants / bars à la location de chaises longues et de serviettes.
Des plages beaucoup plus agréables existent dans d’autres villes à proximité, comme Villefranche-sur-Mer, Antibes et Cannes, qui sont beaucoup plus sablonneuses. Villefranche est un choix de plage particulièrement privilégié, surtout si vous voyagez avec des enfants, à seulement vingt minutes du Zou! 100 bus.
Cependant, pour des promenades au bord de la mer avec de superbes vues, la Promenade des Anglais est sans doute sans précédent.
De beaux paysages
Pour une vue sur Nice, le meilleur point de vue est les hauteurs du Mont Boron (bus 14). Depuis le vieux fort abandonné et la villa voisine de Sir Elton John, il y a de belles vues sur la ville jusqu’aux montagnes et à l’est sur Villefranche et Cap Ferat.
Allez à Èze. C’est un petit village sur le chemin de Monaco. Le village est situé sur une petite montagne et il y a un beau jardin de cactus avec une vue spectaculaire (à voir absolument, 5 € d’entrée). Il y a aussi la parfumerie Fragonard que vous pouvez visiter gratuitement. Pour rejoindre Eze en bus, prenez la 112 jusqu’à Eze Village (pas la 100 qui s’arrête à Eze Gare, à 90 minutes de marche d’Eze Village). Si vous avez manqué un bus 115 peu fréquent (jusqu’à 3 heures) à Eze Village, il y a un chemin qui descend la montagne d’Eze Village à Eze Sur Mer (également Eze Gare). Voici le Chemin de Nietzsche (du nom du célèbre philosophe allemand Friedrich W. Nietzsche), avec des vues fantastiques et une cascade (si vous savez où chercher). La descente de ce chemin prend environ 40 minutes.
À proximité se trouve également la magnifique Villa Ile de France, de la baronne Ephrussi de Rothschild, à cheval sur la magnifique presqu’île de St Jean Cap Ferrat dans le soi-disant Triangle d’or de Villefranche, Beaulieu et Cap Ferrat.
Des sentiers de randonnée émanent de La Turbie au-dessus de Monaco et de la Grande Corniche, qui sont deux fois plus hauts que le niveau de la mer d’Eze et offrent au promeneur endurci des points de vue vraiment spectaculaires sur la Riviera.
Cliff Walk (Sentier Littoral) (passez devant le vieux port (probablement 15 minutes de marche) en direction de l’est en direction de Monaco, il y a un petit chemin qui mène de Coco Beach le long de la falaise). Vous pouvez suivre le chemin du Cap de Nice à mi-chemin de Villefranche, mais préparez-vous à plusieurs centaines de marches pour rejoindre la route. C’est une très belle promenade et vous trouverez principalement des gens locaux qui l’utilisent.
Spectacles en direct
Opéra Nice Côte d’Azur, 4 & 6 rue Saint-François de Paule. Cet opéra accueille non seulement des spectacles d’opéra mais aussi de nombreux concerts de l’Orchestre Philharmonique de Nice et des récitals de musique de chambre, ainsi que quelques spectacles de ballet. Le site Web de la maison est en français seulement, mais même si vous ne lisez pas bien le français, vous devriez pouvoir voir les informations sur leur calendrier (calendrier).
Evènements et festivités
La plupart des festivités et événements culturels ont lieu en été, de mai à fin octobre. Le Carnaval de Nice existe sous sa forme actuelle depuis 1873. Depuis cette date, il a été organisé par le Comité des Fêtes, pour divertir les visiteurs hivernaux. Il a lieu en février. Le Nice Jazz Festival existe depuis 1948. Il se déroule en juillet, dans les jardins et les arènes de Cimiez, sur trois scènes différentes à la fois.
Depuis 1935, la foire de Nice se tient tous les mois de mars et accueille pendant dix jours commerçants et artisans de la région au Palais des Expositions.
Les « Nuits musicales de Nice » ont lieu en juillet et août, sous la direction de Jacques Taddei. Elles ont lieu dans le cloître du monastère de Cimiez. C’est un festival de musique de chambre, qui existe depuis 1958. Le « Vieux-Nice » Le festival Baroque en Musique « est une série de concerts de musique baroque, qui ont lieu d’octobre à mai, dans les églises et les chapelles baroques du Vieux Nice. Le festival de musique sacrée de Nice a été créé en 1974 par Pierre Cochereau et Paul Jamin. Il est dirigé aujourd’hui par Marco Guidarini et a lieu en juin Le festival MANCA (Musique moderne Nice Côte d’Azur) a été créé en 1978 par Jean-Étienne Mari et est organisé par le CIRM.
« Les enfants du rock » était un festival de musique rock, organisé par l’association Ivoire Music, qui a existé de 2006 à 2009. En 2010, Ivoire Music a décidé d’élargir le thème artistique; le festival « Les enfants du rock » change alors de nom pour devenir le festival « Crazy week !!! ». La première édition de ce nouveau festival s’est déroulée du 6 au 10 juillet 2010 au Théâtre de Verdure à Nice. Près de 10 000 spectateurs ont assisté à l’édition 2011, confirmant que Crazy Week était devenu le premier festival de musique actuel de la ville, et « le deuxième festival de la ville après le Nice Jazz Festival » selon Nice-Matin.
Le « septembre de la photo » existe depuis 1987. Des photos liées par un thème commun sont exposées dans différents endroits de la ville (galeries municipales, musées, théâtre de la photographie et de l’image). En 2007, le thème était l’Arménie.
Le festival du film italien se tient chaque année à l’Espace Magnan depuis une date inconnue. Faute de publicité, c’est plutôt confidentiel. La semaine du cinéma lusophone est organisée par l’Université de Nice Sophia-Antipolis depuis 1999. Elle se déroule au cinéma Rialto. Comme le festival du film italien, il n’est pas soutenu par la municipalité et reste donc peu connu. Le Festival du court-métrage de Nice, intitulé « Un festival est trop court », se tient chaque année en avril depuis 2000 297. Il est organisé par l’association Héliotrope. Depuis 2010, Nice accueille également le cinéma fantastique Samain de Nice au Mercury cinema., Un festival international annuel du film présentant des films de genre.
La fête du château est organisée par le Parti communiste des Alpes-Maritimes depuis 1946. Elle a lieu début juillet et dure deux jours. Il y a des concerts, des pièces de théâtre, des débats, des librairies et des rafraîchissements. En fin de compte, il y a peu d’événements culturels destinés aux jeunes.
Le 14 juillet 2016 aux alentours de 22 h 45, une attaque a été perpétrée sur la Promenade des Anglais lorsqu’un camion est entré dans la foule rassemblée pour la fête nationale des feux d’artifice. L’auteur de l’attaque est abattu par la police. Le 21 août 2016, le bilan est de 86 morts et 458 blessés.
Traditions
La danse la plus représentative du comté de Nice est la farandole et ses variantes: brandi, mourisca (ou maure), passa carriera (passe-rue; espagnol passa calle, passacaille). D’autres danses traditionnelles étaient également pratiquées. Les filles et les garçons dansaient au son du fifre, du tambour, du petadou, parfois du violon ou de la vielle à roue. Le pilou, quant à lui, est un jeu typiquement niçois.
Il y a aussi de nombreuses fêtes dans le pays niçois, le premier festival de l’année étant celui du carnaval de Nice qui est suivi de la bataille des fleurs. Les autres festivités traditionnelles sont la fête des cougourdons, les fêtes de Nice, la fête du Maïs, le renouvellement du vœu, avec procession des confréries des pénitents, la fête de Saint-Pierre, la fête du Malonat, la fête de l’Assomption, la fête de San-Bertoumiéu, la fête de Catherine Ségurane, la fête de Saint Reparate, Calena et Lou Presèpi (« tradicioun de mariota nissarda », les marionnettes de Nice).
Les costumes portés sont, pour les garçons, un corsaire noir à rayures rouges et blanches, une grande ceinture rouge appelée taillole et une grande chemise blanche; et pour les filles, des jupes en toile à rayures rouges et blanches, une chemise blanche, un corset de velours noir avec tablier, un châle en satin noir brodé ainsi que la capelina (grand chapeau rond et plat, en paille). Ces costumes existent également en variante, originaire du menton, où le rouge est remplacé par le bleu.
La ville possède également un hymne Nissa la bella, composé par Menica Rondelly. Comme ailleurs, ces traditions ont progressivement pris leur forme actuelle à partir du XIXe siècle.
Tour de la ville
Cela vous permettra de profiter des endroits à voir. Il existe deux possibilités de visites guidées motorisées:
Petit train touristique (départ sur le trottoir sud de la Promenade des Anglais, face au jardin Albert 1 e) départ toutes les 30 min. Vous emmène visiter la vieille ville et vous emmène sur la colline du château, les commentaires étant diffusés par haut-parleurs.
Bus touristique à impériale Vous déposer à différents points touristiques de la ville et venir vous chercher une fois votre visite terminée. Les commentaires sont diffusés par des casques individuels.
Les Nice Greeters permettent au moins 2 heures. – Des bénévoles locaux vous font découvrir une partie de la ville selon un thème (balade en ville, à vélo bleu, vie quotidienne…). Prenez rendez-vous sur le site entre 1 et 3 semaines à l’avance. En partenariat avec l’office de tourisme.
Mobilboard. Le moyen idéal pour voir plus en moins de temps! Mobilboard vous invite à découvrir le patrimoine culturel aux commandes d’un Segway Segway. Votre guide est là pour vous dévoiler les trésors cachés de la Côte d’Azur aux thèmes aussi variés que l’art, les traditions, la gastronomie, l’écologie … Vivez une expérience ludique et culturelle pour découvrir la ville de Nice.
Carnaval
Carnaval de Nice en février pendant 2 semaines dont 3 week-ends. Elle se déroule chaque année selon un thème différent. Par exemple, en 2008, le roi du carnaval était roi des ratapignatas (en français, roi des chauves-souris …). Le carnaval se compose de deux types de corsi:
Carnaval corsis: ce sont des défilés de chars et de « grosses têtes ». Ils ont généralement lieu le samedi soir et le dimanche après-midi.
Les corsi fleuris ou « batailles de fleurs »: c’est un défilé de chars fleuris du haut desquels de jeunes hôtesses jettent des fleurs aux spectateurs. Ils ont lieu les mercredis et samedis après-midi.
Le parcours de ces deux événements est identique depuis 2005: sur la Promenade des Anglais et le Quai des Etats-Unis. Il y a des places dans les tribunes payantes, des places sur le trottoir payantes ou gratuites. Pour l’anecdote, sachez que la tradition est formelle: le dernier jour du carnaval (dimanche), le roi est impitoyablement brûlé en public … pour le bonheur de tous! Suit ensuite un incroyable feu d’artifice qui clôt cette dernière soirée de festivités, qui aura commencé par le défilé du roi, des rennes ainsi que de nombreux écoliers dansant et chantant les traditions niçoises. Plus d’informations sur les dates et tarifs sur le site officiel.
Contourner
En bus et tram
Chaque ville principale de la Côte d’Azur a son propre réseau de bus local, pour Nice c’est Lignes d’Azur (Antibes a Envibus, Cannes a Bus Azur, etc.), et les 100 lignes ou plus de Lignes d’Azur sont les principales forme de transport urbain pour les habitants allant au travail ou à l’école. D’un plus grand intérêt pour les touristes, un réseau interurbain, Zou! relie toutes les villes de la Riviera orientale entre Cannes et Menton et tous les principaux villages comme Èze et Vence. Son terminal est situé au 16 avenue des Diables Bleus. Les tarifs des bus ne sont que de 1,50 € (2019) avec un changement à un service de correspondance sans retour également autorisé dans les 74 minutes, il est donc utile de maîtriser le système de bus pour se déplacer.
Les Lignes d’Azur et Zou! les itinéraires se chevauchent à l’intérieur et autour de Nice, de sorte que le système de billets et de tarifs est intégré à une zone de billets commune, dans laquelle les billets et les laissez-passer locaux Lignes d’Azur sont acceptés sur la plus longue distance Zou! bus (uniquement entre Cagnes-sur-Mer à l’ouest et Cap d’Ail à court de Monaco à l’est). Le tarif est identique sur les deux réseaux – 1,50 € pour n’importe quelle distance – mais avec Zou !, vous devez toujours indiquer au chauffeur votre destination, afin qu’il puisse juger si vous devez acheter un Zou! billet ou une Ligne d’Azur. En dehors de la zone commune, les pass Ligne d’Azur ne sont pas valables et vous devez payer le tarif de 1,50 € en espèces.
La seule exception au tarif de 1,50 € est le bus Airport Express, qui propose un tarif fixe de 6 €. Cela vous permet d’acheter une carte journalière Lignes d’Azur toute la journée – pratique si vous arrivez, peut-être pas aussi bénéfique si vous partez.
La ligne de tramway prend un itinéraire en forme de U de Las Planas au nord-est à Pont St Michel au nord-ouest. Il relie la gare principale, la gare routière, le centre-ville et l’université, mais il s’agit principalement d’un système de transport en commun pour les navetteurs et les acheteurs, et a peu de valeur pour les touristes – cela devrait s’améliorer en 2019 lorsque la ligne de tramway est-ouest est attendue. à compléter. Les tramways utilisent les mêmes billets que les bus, mais vous devez les acheter aux machines des arrêts de tramway (contrairement aux bus, où il est habituel de payer le chauffeur ou de montrer votre carte à l’entrée du bus).
Validez toujours votre billet si nécessaire, en particulier les billets de type carte avec bande magnétique.
Une autre innovation est le service de bus horaire « express de banlieue » direct à Monaco via l’autoroute, le 100 Express, bien que les visiteurs préfèrent toujours l’itinéraire 100 plus lent et plus pittoresque le long de la côte.
Le service ferroviaire SNCF relie également toutes les principales villes côtières, alors quel est le meilleur moyen de se déplacer – bus ou train? Le trajet de Nice à Cannes en bus 200 à 1,50 € est nettement moins cher que le train, qui dépasse 5 €. Les bus sont susceptibles de surpeuplement épouvantables et ont la perspective de rester debout pendant près de 2 heures car il est lent avec des arrêts fréquents et de nombreux feux de circulation le long de l’itinéraire. Si vous manquez d’argent et que cela ne vous dérange pas, prenez le bus. Si vous manquez de temps et préférez vous asseoir, prenez le train.
Lorsque vous prenez le bus, vous devez être conscient de la façon quelque peu étrange dont les horaires de bus sont présentés. Ils indiquent l’heure de départ à la première gare routière, pas celle où vous êtes. À droite de l’horaire des bus, vous avez une liste des stations et, à côté de certaines, vous trouverez le temps indiqué, il faudra le bus pour y arriver (+20 min, par exemple). Cela signifie que vous devrez faire beaucoup de devinettes. Il est préférable de demander à un natif et de laisser un peu de temps supplémentaire si vous prévoyez de prendre un bus pour un événement programmé que vous ne voulez vraiment pas manquer (aéroport, train, concerts, etc.)
Vous pouvez trouver les cartes et les horaires des itinéraires de bus et de tramway en ligne. Les cartes d’itinéraire sont répertoriées sous «Cartes» et horaires sous la forme «Horaires» au format PDF. De plus, un nouveau service («Horaires d’arrêt») prétend afficher les heures à votre arrêt. D’après l’expérience antérieure avec la compagnie de bus, ceux-ci devraient se situer entre des suppositions éclairées et une fiction pure et simple, en raison des conditions de circulation routière imprévisibles (comme les embouteillages d’une heure autour de Villeneuve Loubet).
Hormis les routes express 98 et 99 de l’aéroport, les bus circulent rarement après 20h00. Le tram fonctionne cependant de 04h30 à minuit. Cinq lignes de bus nocturnes (appelées Noctambus) desservent les principaux quartiers de la ville, de 21h10 à 01h10, et Zou! a également introduit des bus peu fréquents toute la nuit sur la ligne 100. Les bus de nuit partent de la gare JC Bermond, près de la gare routière, et les tarifs de jour s’appliquent sur ces itinéraires de nuit. Si vous prévoyez une visite impliquant un retour tard le soir, pensez aux services de train, qui offrent la forme la plus fiable de voyage tardif.
Le point de départ des bus en direction de Villefranche, Eze Village, Cap Ferrat, Monaco et Menton est Segurane / Garribaldi; des bus vers l’ouest en direction de l’aéroport, Antibes et Cannes partent d’Albert 1er / Verdun à proximité de l’hôtel Méridien.
En train
Nice n’a pas de métro et en a peu besoin. Le principal service ferroviaire est la SNCF, qui propose le TGV à grande vitesse (lent vers Marseille puis extrêmement rapide vers Paris) et les trains locaux d’arrêt TER, qui desservent les principales villes de la Riviera entre Cannes et Vintimille à travers la frontière en Italie, y compris le trajet quotidien vers Monaco.
Moins connu est le petit chemin de fer à voie étroite Chemin de Fer de Provence, qui relie Nice à la vallée du Var et le long de la route Napoléon, à 3 heures de Digne en Haute Provence. Pendant les mois d’été, la dernière partie du voyage passe à un véritable train à vapeur, le Train des Pignes.
En voiture
Vous n’avez pas besoin d’une voiture pour explorer Nice elle-même, et si vous en apportez ou en louez une, attendez-vous à une certaine frustration. Le centre-ville est encombré est couvert par un système à sens unique compliqué. Le stationnement est très limité – tous les parkings dans la rue, partout au centre, sont à des mètres pendant la journée, et malgré cela, il est très difficile de trouver une place; vous remarquerez que la Niçoise est heureuse de se garer deux fois dans les magasins. Si vous avez besoin d’une place de parking fiable, votre meilleur pari est d’acheter un ticket à durée fixe (abonnement) dans l’un des parkings souterrains, dont plusieurs offrent un accès 24h / 24. Vous pouvez vous attendre à payer 8 à 10 € par jour pour ce type de parking.
Le meilleur accès se fait en voiture depuis l’autoroute A8. L’aéroport est bien signé de l’A8 et l’A8 est bien signé de l’aéroport. Assurez-vous simplement de savoir dans quelle direction vous devez aller lorsque vous montez sur l’A8 et quel terminal en partant. En particulier aux heures de pointe du matin et du soir, prévoyez du temps supplémentaire pour faire face aux accidents et aux embouteillages. L’A8 a un virage féroce juste à côté de l’aéroport et les accidents sont fréquents.
Même si ça va mieux, conduire une voiture sur la Côte d’Azur est pour les courageux: la région a l’un des pires records d’accidents de France et chaque habitant a une histoire préférée sur un conducteur fou. Cependant, toutes les grandes sociétés de location de voitures, ainsi que certaines moins connues, sont présentes. La plupart sont situés près du terminal 2. Si vous avez le choix, essayez de choisir une voiture qui est déjà bien tintée afin que personne ne remarque les nouveaux coups et rayures que vous ajouterez. N’oubliez jamais de verrouiller les portières de la voiture à tout moment, afin de ne pas tenter les carjackers.
En taxi
Si vous le pouvez, évitez les taxis notoirement chers, bien que parfois vous n’ayez pas le choix. Il n’est pas toujours facile de trouver un taxi quand on en a besoin. La plupart ne répondront pas au fait d’être hélés et ne font que voler depuis une station de taxis, d’où les taxis emmènent les passagers à tour de rôle. Les chauffeurs de taxi sont très solidaires de leurs collègues chauffeurs de taxi et n’accepteront pas les offres de sauter une file de passagers en attente. Les stations de taxis se trouvent à l’extérieur de la gare et des hôtels de luxe (par exemple à l’extérieur du Méridien au 1 Promenade des Anglais).
Les taxis sont enregistrés et autorisés mais comme partout, il n’est pas inconnu pour profiter des touristes. Si possible, convenez du tarif avant d’entrer dans la cabine. Si vous utilisez le compteur, insistez pour que le compteur soit tout le temps. Essayez de vous asseoir où vous pouvez le voir afin de pouvoir immédiatement interroger le pilote quand / s’il se déclenche «accidentellement». Les tarifs des taxis à Nice doivent être inférieurs à 20 €, Antibes 50 €, Monaco ou Cannes environ 70 € et St Tropez 250 €. L’aéroport desservant Nice est un tarif fixe d’environ 35 €, selon l’heure de la journée, mais vous risquez d’être frappé de surtaxes sur les bagages ou de la présence d’un 4ème passager (conçu pour décourager le partage de taxi).
En vélo
Nice a installé un système public de location de vélos appelé « Vélo Bleu ». Les abonnements vont de 1 € par jour à 25 € / an. Les 30 premières minutes sont gratuites et vous n’aurez plus besoin de temps pour vous déplacer dans la ville. Les stations Vélo Bleu se trouvent dans toute la ville. Leur site Web fournit une carte des stations.
Si vous avez votre propre vélo, vous n’aurez jamais à aller loin pour trouver un endroit où le garer, car il y a beaucoup d’ancrages au sol dans la ville. Assurez-vous simplement d’avoir un bon verrou (évitez les verrous de câble qui peuvent être coupés en quelques secondes), de verrouiller le cadre (et pas seulement la roue) et que vos roues ne peuvent pas être retirées sans outil.
À pied
Même si Nice est la 5e plus grande ville de France, une forte proportion des attractions touristiques sont proches les unes des autres dans le centre-ville, à une demi-heure au plus les unes des autres.
La principale exception est le site historique et le musée de Cimiez, qui est plus une randonnée, mais facilement accessible en bus.
Le seul inconvénient d’être « à pied » est qu’il y a un manque d’attention dans certaines parties de la ville aux besoins des personnes à mobilité réduite, comme celles en fauteuil roulant, car l’abandon des pierres de bordure est entièrement aléatoire.
Acheter
La plupart des magasins et restaurants de Nice acceptent les principales cartes de crédit et les cartes de débit des grandes banques (tout ce qui porte les logos EC ou Maestro ou Visa). Si cela échoue, vous pouvez toujours obtenir de l’argent à l’un des nombreux distributeurs automatiques de billets.
Tous les magasins sont désormais autorisés à ouvrir tous les dimanches et, depuis novembre 2010, au moins les établissements suivants ont commencé à ouvrir tous les dimanches: H&M, Zara, Fnac, Bershka, Celio, Virgin Megastore et Spar. Certains emplacements des Galeries Lafayette sont désormais ouverts plusieurs dimanches par mois mais pas tous, il en va de même pour le Centre Commercial Nice Etoile.
Les cartes postales (comme beaucoup d’autres choses) varient considérablement en prix. Faites des achats de comparaison car la fourchette de prix se situe entre 20 cents et 1 € pour une carte postale normale. Généralement, ils vous coûteront 25 cents chacun (juin 2009).
La principale rue commerçante de Nice av. Jean Medecin abrite deux magasins de musique / divertissement géants, Virgin Megastore et la FNAC française. La FNAC a définitivement l’avantage car ses nombreuses stations d’écoute vous permettent « d’essayer avant d’acheter » presque tous les CD de la maison, tandis que Virgin ne propose que quelques sélections promotionnelles. Les deux appliquent une politique de prix presque identique sur les nouveaux albums. La FNAC est plus proche du HMV, offrant la plupart des formes de divertissement, notamment des livres, des jeux, des CD et des DVD. Le magasin de 4 étages sur Av. Jean Medecin mérite d’être exploré!
Les vêtements de marque de créateurs sont, comme partout, notoirement chers, mais les articles de mode généraux sont vraiment bon marché par rapport à la plupart des autres pays européens, et les Galeries Lafayette offrent beaucoup sous un même toit. Si cela ne vous suffit pas, ils ont aussi une immense superstore au Cap 3000 juste à côté de St Laurent de Var devant l’aéroport (Lignes d Azur 52 et Zou! Bus 200, 400 et 500, arrêt La Passerelle). C’est également là que se trouvent les Galeries Lafayette Gourmand, un supermarché alimentaire qui rivalise avec les Harrods et Selfridges de Londres. La sélection de vins est brillante, en particulier les allées pleines de Rose de Provence, et il y a une demi-douzaine de lieux de déjeuner en magasin.
Les modes de bonnes affaires bon marché sont mieux recherchées dans l’énorme marché ouvert de Vintimille chaque vendredi, accessible en train de Nice Gare Ville à Vintimille à quelques kilomètres au-dessus de la frontière italienne. Évitez simplement les tentantes fausses marques de luxe vendues par les nombreux vendeurs de rue. La guerre contre la contrefaçon est prise très au sérieux par la police des frontières française et de grosses amendes sont destinées aux touristes « innocents ».
Le centre de Nice Etoiles est accessible à tous ceux qui désirent visiter un centre commercial, y compris trois étages d’une marque néerlandaise qui n’a pas été vue par les Britanniques depuis 20 ans et qui est toujours grande en France – C&A. Plus de nostalgie peut également être trouvée dans le « Damart » de l’av. Jean Médecins – oui, les gens qui vous ont donné des « sous-vêtements Thermolactyl » pour vous garder au chaud en hiver sont également grands ici. À peu près aussi sensible que les salons de bronzage locaux.
Une mise en garde: les boutiques « duty free » des terminaux de l’aéroport de Nice sont la pire valeur absolue que vous trouverez et devraient être évitées à tout prix: les prix sont bien supérieurs à ceux de la rue principale. Nourriture, boissons et cigarettes terriblement hors de prix, et il n’y a pas de bonnes affaires « avant de prendre l’avion ». Si vous n’avez pas encore pris l’habitude, les cigarettes en particulier sont mieux achetées en Italie de l’autre côté de la frontière, où les taxes sur le tabagisme n’ont pas atteint des niveaux de punition favorables à la santé.
Marché aux fleurs (Marché aux Fleurs), Cours Saleya. Tu-Sa 06: 00-17: 30; Su 06: 00-12: 00; jours fériés fermés.
Marché aux fruits et légumineuses. Tu-Su 06: 00-13: 00. Magasin de nourriture.
Confisserie Florian, 14, Quai Papacino, cette boutique gastronomique propose des confitures spécifiques, des fruits sucrés et des pétales, qui sont traditionnels de cette région. La clémentine confite et la confiture de rose sont leurs fines spécialités.
Manger
Un aliment appelé socca, un pain plat aux pois chiches, est une spécialité locale, tout comme un sandwich au thon appelé pan bagnat. Les autres spécialités incluent la soupe de poisson (soupe de poisson, aïoli au chili, croûtons et fromage râpé), la salade niçoise (à base de thon), les tourtes aux blettes (tartes sucrées à base de chou de Savoie, raisins secs, noix et sucre en poudre) et pissaladière (un type de pizza garni d’oignons sautés, d’olives, d’ail et d’anchois; il ne comprend ni tomates ni fromage). Comme on peut s’y attendre, les fruits de mer figurent en bonne place dans la cuisine niçoise, et plusieurs restaurants sont spécialisés dans les oursins et les huîtres.
Découvrez le marché quotidien du Vieux Nice pour des produits frais et locaux. Vous pouvez économiser beaucoup d’argent si vous êtes prêt à cuisiner vous-même au moins certains de vos repas et si vous mangez également des restes, la cuisson peut également vous faire gagner du temps, car manger dans un restaurant vous coûtera facilement une à deux heures par repas. . Il y a plusieurs supermarchés de taille décente autour de la ville, et de nombreuses boucheries, boulangeries et magasins de fruits et légumes qui sont souvent compétitifs sur le prix et supérieurs sur la qualité.
Aucune visite à Nice ne serait complète sans un voyage chez Fennochio sur la Place Rosetti pour déguster leur (à juste titre) crème glacée de renommée mondiale.
Budget
La nourriture bon marché et joyeuse à Nice est difficile à trouver si vous ne prenez pas votre temps pour la chercher, bien qu’une baguette avec des garnitures différentes varie de 4 à 6 €, ce qui est très raisonnable selon les normes de Nice.
Les meilleures offres dans le centre se trouvent dans la zone portuaire.
Vieux Nice et tout au long du front de mer, les prix ne peuvent pas être décrits comme un budget.
Cependant, les menus du midi sont certainement d’un bon rapport qualité-prix, sinon «bon marché» en soi. 10-12 € devraient vous offrir deux plats, souvent avec du café et du vin, et comme la plupart des déjeuners d’Europe continentale peuvent dériver joyeusement dans l’après-midi.
Lou Pilha Leva, Place Centrale, Vieux Nice. Des plats locaux, y compris la meilleure Socca, qui ne coûte que 2,80 €. Les locaux (et les nombreux touristes français) semblent adorer cet endroit et il est souvent très fréquenté. Commandez votre nourriture au comptoir et apportez-la avec vous pour vous asseoir sur les bancs à l’extérieur. Essayez les pâtes Daube / polenta (9,50 €) et la soupe au pistou, et la socca. Très bonne ambiance et prix très correct. Cela vaut la peine d’essayer, même si les aliments cuits au four peuvent être quelque peu imbibés d’huile. Évitez le vin rouge à cet endroit, car ils le servent frais plutôt que chaud.
Restaurant Le Lodge, 14 Rue Halévy, Si vous surveillez votre budget mais que vous souhaitez avoir un repas gastronomique et sain, c’est l’endroit où aller pour le déjeuner. Pour 11 €, vous obtenez un plat principal, une boisson comme du vin, de la bière ou du soda et après le repas, un café. Essayez le trio de poissons. Pour 13 €, ajoutez le dessert du jour. J’espère que c’est de la crème brûlée à la cannelle. Ne vous laissez pas rebuter par la seule serveuse à un rapport de restauration complet, les chefs vous apportent la nourriture rapidement. Les offres de repas sont plus chères la nuit, à partir de 19 €.
Sixte Pizza, 15 Rue Jean-Pierre Papon. Pizzas à 6 €; les emmener à la plage fait un bon dîner.
Arlequin Gelati, 9, avenue Malausséna (depuis l’extrémité nord de l’avenue Jean-Médecin, après avoir passé le pont ferroviaire, 150 m au nord sur le côté gauche de la rue), ✉ contact@arlequin-gelati.com. un peu moins de 3 € pour un scoop et 5 € pour deux. Excellente glace maison avec de nombreuses saveurs disponibles.
Milieu de gamme
le Delhi Belhi, 22 rue de la Barillerie. Delhi Belhi est un restaurant familial spécialisé dans la cuisine indienne. Ouvert tous les jours pour le dîner, menu à la carte ou à prix fixe. Grands currys et spécialités tandoori. Delhi Belhi est le seul restaurant indien de toute la Côte d’Azur à figurer dans les prestigieux guides Gault-Millau depuis 2005. Un anglais courant est également parlé ici. Derrière le populaire marché aux fleurs du cours Saleya. C’est un restaurant très populaire, donc les réservations sont fortement recommandées (au moins quelques heures à l’avance). 15-20 € par personne (boissons alcoolisées et vin en sus).
Le Shalimar, 11 rue Biscarra. A une délicieuse cuisine indienne. Les menus du déjeuner sont une bonne affaire.
Restaurant du Gésu, 1, place Jésus. Au cœur du Vieux Nice, c’est un restaurant convivial, animé et à l’ancienne avec autant d’influence italienne que provençale. Les beignets et la daube aux gnocchis sont particulièrement bons.
Mad’In Viet, 2 Place Saétone. Restaurant vietnamien. Sert de la bonne nourriture vietnamienne à des prix abordables. Le riz n’est pas inclus dans les plats mais commandé séparément. Des baguettes sont fournies mais vous devez demander une fourchette et un couteau. Le personnel est très sympathique mais ne parle pratiquement pas anglais, alors préparez-vous à commander en français.
Folie
Le Safari. Longtemps établie dans le vieux quartier, elle accueille désormais plus les touristes que les locaux. Cela se reflète dans le prix et la langue parlée par ceux qui dînent à côté de vous. Trop cher par rapport à d’autres établissements locaux similaires. Pour un repas de 3 plats avec du vin, attendez-vous à payer plus de 60 € / personne.
Le Tire Bouchon, Rue de la Préfecture / Rue de l’Abbaye 19. Situé dans le centre de Nice, Le Tire Bouchon est un restaurant attrayant et recherché pour déguster un repas gastronomique. Le restaurant a une atmosphère pittoresque qui plaira à tous.
Boisson
Avec les étés chauds niçois, porter une bouteille d’eau est presque un must. Gardez à l’esprit que la plainte la plus importante adressée au service du tourisme de la municipalité est l’offre dans les restaurants de bouteilles d’eau de marque dont le sceau a été brisé – c’est-à-dire rempli d’eau du robinet – et facturé Perrier ou Evian.
Vous pouvez économiser beaucoup d’argent en achetant des boissons alcoolisées et autres dans un supermarché normal au lieu des vendeurs axés sur les touristes. Carrefour a une très grande sélection et contrairement aux autres supermarchés a une politique d’achat en vitrine de « lauréats » distingués par leurs stickers médailles d’or, d’argent ou de bronze.
Certains endroits populaires pour sortir boire un verre comprennent:
Ma Nolan. – En plein cœur de la «vieille ville» et à côté de l’opéra, Ma Nolan’s a tout ce que vous attendez d’un pub irlandais et plus encore. Musique live tous les soirs, grands événements sportifs sur quatre écrans, très bonne nourriture et personnel très sympathique. Cet endroit est un must.
Akathor Pub. – Grand pub scandinave / irlandais avec musique live tous les soirs. Sur deux étages avec une grande terrasse, cet endroit est cher mais relax. La plupart des grands hôtels (comme le Holiday Inn) ont des coupons de boisson 2 pour 1 qui peuvent être facilement obtenus même si vous n’êtes pas un invité.
Blue Whales – Reste ouvert jusqu’aux petites heures du matin.
Wayne. – Un bar de la vieille école avec de la musique live et des soirées à thème, un peu coyote laid répond aux acclamations. Quand l’endroit est bondé, les gens dansent sur les tables. C’est un peu cher à boire ici (mais Wayne’s n’est pas seul avec cette caractéristique), mais certainement l’un des endroits les plus amusants / festifs de Nice. Les touristes anglophones semblent également graviter dans ce bar, mais vous rencontrerez également de nombreux français ou locaux ici.
Checkpoint – Un bar confortable au rez-de-chaussée et une grande piste de danse souterraine. La soirée des dames du lundi propose 0,50 € de champagne.
Le Marches – Bar de style lounge sur deux étages avec cocktails et tapas.
Master Home – Un pub par Wayne’s et King’s Pub. Plus « français » que les pubs de Wayne et King et un peu plus chic. Lorsque vous commandez des boissons alcoolisées, ils vous apportent deux ou trois plats à grignoter. Même si le prix est un peu plus cher que les pubs « anglais » d’à côté, ça vaut quand même le détour et une fraction moins chère que les bars / pubs touristiques. Essayez la rose (3,20 €), la moins chère du menu mais délicieuse!
Pompeï – Séjours ouverts tard, musique live presque tous les soirs (généralement rock), bonne danse le week-end, fumoir intérieur, à côté de Wayne’s et des autres pubs irlandais – tout le monde afflue ici après leur fermeture.
Jonathan’s – Si vous cherchez à rencontrer des locaux, allez chez Jonathan’s. Petit endroit troué dans le mur rempli de jeunes (principalement des étudiants) avec de superbes boissons spéciales la plupart des soirs. Pas très connu des touristes.
Le vin dans les restaurants est souvent férocement cher, alors faites comme les locaux et commandez-le au « pichet » – généralement une cruche de 50 centilitres. Cependant, si vous avez envie d’appeler du vin français de qualité à boire chez vous, Les Caves Caprioglio au 16 Rue de la Préfecture du Vieux Nice possède une fabuleuse cave à vins que vous ne lisez habituellement que dans les livres de vins fins mais que vous voyez rarement. Pour voir la vinification française, le Château Bellet et Cremat dans le Var sont les plus proches de Nice et feront des visites sur rendez-vous (accessibles via le petit train à voie étroite depuis le Chemin de Fer de Provence).
L’Essenciel, Boulevard Victor Hugo 50. Lounge bar à la piscine au sommet de l’hôtel. Atmosphère détendue et superbes vues sur la ville.
Restez en sécurité
Le taux de criminalité de Nice est comparable à celui d’autres villes des pays occidentaux. Néanmoins, les habitants se plaignent d’un certain nombre de problèmes depuis les années 2000, souvent avec de bonnes raisons. Des précautions de base sont parfois nécessaires.
Nice est connue pour être la ville de France avec le plus grand nombre de policiers par habitant – et depuis le tragique événement de 2016 par la promenade, Nice accueille un grand nombre de patrouilles militaires. Ils peuvent être quelque peu intimidants à rencontrer, surtout au milieu de la nuit, mais ils sont là pour maintenir un air de contrôle. La plupart des Français maintiennent que leurs armes sont fausses, et ils n’interagiront normalement jamais avec vous.
Comme pour les autres grandes villes, Nice a des zones à éviter. Les domaines les plus cités sont:
l’Arianne et la Trinité, toutes deux à l’est de la ville, sont des foyers connus pour la violence des gangs. Il est fortement déconseillé de s’y promener la nuit.
Certains des quartiers immédiatement au nord de l’aéroport ont été les étapes du vol à la tire.
Le quartier de Thiers, juste au sud de la gare de Nice-Ville, a quelques rues peu recommandables.
Voici quelques conseils pour rester en sécurité:
Ne prenez pas de « taxis » sans licence! Cela s’applique doublement à des moments comme le Festival du film, surtout si vous êtes une femme et que vous avez bu et fait la fête tard.
Prenez des précautions contre les pickpockets, qui sont un problème constant et sérieux sur la Côte d’Azur. Ils opèrent généralement en équipe dans toutes les zones surpeuplées comme les bus, les gares et les sites touristiques. Soyez vigilant à la station de tramway, Gare Thiers, où les pickpockets s’attaquent aux touristes fatigués par les voyages. Ils peuvent bien ressembler à des compagnons de voyage inoffensifs, mais ils sont extrêmement qualifiés et soulèveront votre portefeuille de la poche avant ou arrière de votre pantalon sans que vous le remarquiez. Il est fortement conseillé de ne rien emporter de précieux ou ennuyeux à replacer dans vos poches. Utilisez des pochettes sous vos vêtements pour tout ce qui a de la valeur, y compris de l’argent. Dans les restaurants et les cafés, le vol opportuniste de sacs à main est un risque constant – gardez-les à portée de main.
Si vous voyagez en voiture, veillez à ne rien laisser de valeur dans la voiture lors du stationnement. Le vol de bottes de voiture est un problème particulier dans les parkings souterrains sous la vieille ville de Nice. Laisser l’étagère à colis hors de sorte qu’il soit clair que le coffre est vide est un bon moyen d’éviter les problèmes.
À en juger par les rapports des journaux locaux, les problèmes de sécurité personnelle sont plus susceptibles de survenir après 02h30, et les visiteurs doivent rester dans les rues bien éclairées avec des gens toujours là.
Si vous tombez sous le coup des criminels de Nice, le commissariat de police national est l’endroit où vous devez vous rendre pour signaler des problèmes tels que le vol à la tire. C’est à la jonction de l’avenue Marechal Foch et de Dubouchage, à quelques centaines de mètres à l’est du centre commercial Nice Etoiles. Ils vous fourniront les déclarations nécessaires pour soutenir les réclamations d’assurance, mais ne vous attendez pas à ce qu’ils récupèrent votre propriété. Vous trouverez le poste de police très occupé avec d’autres victimes vers la fin de la soirée.