Sigmund Freudenberger

Sigmund Freudenberger (Berne, le 16 Juin 1745 -15 Novembre 1801), était un peintre et dessinateur suisse. Il est considéré comme l’un des principaux Kleinmeister de l’âge d’or, il était le maître, entre autres, comme Daniel Lafond, Niklas Konong et Gottfried esprit.

Sigmund Freudenberger est né en 1745 en tant que fils de l’avocat bernois Gottlieb Sigmund Freudenberger. Il a reçu sa première formation artistique avec Emanuel Handmann à Bernand étudié comme portraitiste. En collaboration avec Adrian Zingg, il poursuit ses études à Paris, où il a fait la connaissance de François Boucher, Jean-Baptiste Greuze, Noël Hallé, Alexander Roslin et Johann Georg Wille.

Dans les années qui suivirent, il se consacre à voyager: après quelques voyages à Lausanne et Saint-Gall, ce fut Paris qui a pris la décision de se déplacer. Au cours de la période française, qui a duré jusqu’en 1773, il rencontre François Boucher et Johann Georg Wille, dont Teutsche Zeichnung-Schule a commencé à y participer. Travaillant en étroite collaboration avec Jacob Schmutzer, il se consacre à livre gravures, dont certains – de interieurs et Scènes d’de mœurs (1768-1772) et Bethasaron Français par Balthasar Anton Dunker (1778-1780) – ils ont obtenu leur renommée.

Il fonde alors dans une école d’art privée à Berne et était connu comme « Petit Maître » pour ses représentations de genre comme de la vie rurale.

Il a formé le peintre suisse Franz Niklaus König (1765-1832) et était proche du banquier et graveur Jean-Henri Eberts (1726-1793).

De retour à Berne est allé à des portraits et la peinture d’inspiration de Paris et l’ambiance suisse, marié Marianne Mesmer (1776) et obtenu du gouvernement le monopole des croquis (1778). En 1785, il a publié le premier ministre Cahier des Habillements de la Différents Ville de Berne, une collection de croquis dédiés aux vêtements bernois.

L’activité de ces dernières années, mis l’accent sur les paysages, a été influencée par les voyages en Suisse avec Johann Ludwig entrepris Aberli. A cette époque, elle appartient aux vaches au Abode dans un paysage ruineux (influencé par l’influence de Boucher, Jean-Baptiste Greuze et Jean-Honoré Fragonard et aujourd’hui hébergé par la Bibliothèque royale de Turin) et plusieurs autres modèles, dont certains sont aujourd’hui conservé au Städelsches Kunstinstitut à Francfort am Main.

Retour à Berne, Freudenberger réglé comme portraitiste et peintre de genre dans l’huile et pastel dans le style de Lancret et Watteau. Il a également fondé une académie d’art privée à Berne. A partir de 1778 partir privilégié, il déplacé avec succès à des gravures de contour gouacheted avec un événement mis en scène de la campagne suisse. Ce faisant, il était si loin dans le goût parisien qu’il a dit dans le journal du luxe et de la mode qu’il avait mis la fille de Boucher dans les vêtements de l’Oberhasli.

Freudenberger, qui avait eu un dernier coup, est mort en 1801 à Berne.

Déguisé par la Révolution française, laissant incomplète, entre autres, des gravures qui ont été colorées plus tard par Gottfried esprit.

Certains de ses dessins, identifié aujourd’hui, sont érotiques et sont très recherchés.